Dans l’atelier du calligraphe
24012008Les vieux papiers et les manuscrits m’ont toujours intrigué. Seulement, il manquait une dimension, celle du contact physique. Ces lettres, qui ont parfois des formes étrangers et qu’on ne parvient pas toujours à déchriffrer lisiblement, appellent au rêve et à l’évasion. Qui les lisait ? Simple esthétique ou pratique manuscrite ? Il ne me restait plus qu’une chose : en réaliser moi-même en laisse place à mon imagination, tout en donnant l’impression que ces documents auraient pu exister. En voici donc quelques exemples : un extrait de Beowulf, le poème de La Chute de Gil-Galad (en anglais, mais écrit dans un alphabet elfique ; de Tolkien, Le Seigneur des Anneaux) ainsi qu’une page d’un livre de Saroumane (idem ; copie d’après un accessoire des films). La suite ? Bientôt !

Catégories : calligraphie